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Mediació sota mínims
La fonction publique ne mène que trois médiations en 2023, faute de moyens. Cela ne se traduit pas non plus avec des cas privés, il n'y en a pratiquement pas !
Chute libre de la
médiation, tant en ce qui concerne le service de médiation et d'orientation
près de l'administration de la justice que pour la médiation privée.
En 2022, le service
public, qui est gratuit, a effectué 47 médiations en matière familiale,
seulement 4 au second semestre, l'année dernière le chiffre a été réduit à 3,
bien qu'un total de 66 entretiens aient été menés.
C'est ce qui ressort du rapport 2023 du ministère de la Justice et de l'Intérieur.
En ce sens, il convient de rappeler qu'en 2020 et 2021, environ 90 couples sont arrivés au bout du processus. La raison de cette diminution a déjà été pointée du doigt par les techniciens du Service de médiation judiciaire : la modification de la réglementation de ce service qui a été approuvée en juin 2022 et qui signifie qu'en pratique tous les usagers doivent prouver qu'ils ne disposent pas de ressources économiques suffisantes pour engager un médiateur privé et, par conséquent, Le droit à une défense juridique gratuite et à une assistance technique doit être reconnu. Rappelons que le service peut également faire de la médiation liée aux baux d'habitation.
Et dans la sphère privée ?
Au niveau des médiateurs privés, les choses sont
également au plus bas.
Selon le médiateur
Ramon Tena, « il n'y a pas de données ».
En tout cas, compte tenu de ce qui se dit entre les médiateurs les plus actifs et ceux qui font partie de l'association, c'est qu'"il n'y a presque pas de cas », au point de déclarer que « la médiation est arrêtée en Andorre, il n'y a pas de cas familiaux ». Quant aux autres sujets, (...)
Pour (je rajoute, Monsieur Ramon)Tena, la
modification du règlement du Service de médiation et d'orientation près de
l'administration de la justice signifie que toute personne qui souhaite une
médiation doit payer si elle ne justifie pas qu'elle n'a pas suffisamment de revenus
pour pouvoir le faire. Mais, bien sûr, cela ne s'est pas traduit par l'arrivée
des affaires devant des médiateurs privés. "Cela se voit que
Pour (je rajoute, Monsieur Ramon) Tena, la modification du règlement du Service de médiation et d'orientation près de l'administration de la justice signifie que toute personne qui souhaite une médiation doit payer si elle ne justifie pas qu'elle n'a pas suffisamment de revenus pour pouvoir le faire. Mais, bien sûr, cela ne s'est pas traduit par l'arrivée des affaires devant des médiateurs privés. « Cela montre que beaucoup de gens voyaient la médiation comme un moyen de sauver l'avocat ou d'économiser de l'argent et non par le désir de résoudre le problème par le dialogue », dit-il. " FIN DE L'ARTICLE DE PRESSE.
Un lien sur une entrevue de Monsieur
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